L’EXECUTION DE BOLSONARO
Le plus grand hold up électoral de l’histoire ?
L’EXECUTION DE BOLSONARO
Le plus grand hold up électoral de l’histoire ?
Par Paul Beaumartin
Les raisons du déchainement
BOLSONARO n’entrait pas dans l’agenda du WEF ( Word Economic Forum, de Davos ), il fallait donc l’éliminer par tous les moyens.
Il avait été élu sur deux thèmes principaux : la corruption et l’insécurité, 55% malgré – déjà des soupçons de fraudes en sa défaveur. Depuis, il n’a cessé d’être la cible d’attaques quotidiennes, toujours calomnieuses, émanant de la gauche ( évidemment ), des mass medias ( groupe o GLOBO en tête ), du monde du spectacle, soit des grands bénéficiaires de l’argent public.
O GLOBO, est plombé par une dette sociale colossale et avait été pourtant très complaisant, pour le moins, avec le régime militaire ( 1964-985 ), du temps du fils de son fondateur, Roberto MARINHO ( 1904-2003 ) ? les temps ont changé.
Il fallait éliminer BOLSONARO, souvent désigné comme le « TRUMP tropical », parce qu’iI est trop conservateur, opposé au mariage homosexuel et climato- sceptique, il serait misogyne et raciste ( alors que son meilleur ami est noir ) autant de griefs que lui reprochent les « progressistes ». Il a aggravé son cas en minimisant les effets du coronavirus.
Les mass medias de la bien pensance lui ont toujours accolé le qualificatif d’extrême droite, pourtant rien de ce qui caractérise habituellement les régimes fascistes ou totalitaires n’a été imposé pendant son mandat .Tout au contraire, par exemple il a laissé les Brésiliens libres de porter le masque ou de se faire vacciner et s’est prononcé contre le confinement pour permettre au peuple de pouvoir continuer à travailler. Cependant, le Brésil étant un état fédéral, ce sont les gouverneurs qui décident les mesures donc il est difficile de pouvoir lui attribuer les décès dus au virus de Wuhan. Par ailleurs, il a évité de se rendre aux sommets de la Terre appelés COP. Et s’il avait raison ?
En résumé il est contre le wokisme et la cancel culture et leurs avatars décadents et a donc tout pour déplaire aux progressistes.
Le bilan de son gouvernement, le grand absent
Si la calomnie a été le moteur des mass medias subventionnées et aux ordres, un silence assourdissant a régné au sujet du bilan. Pourtant l’analyse les résultats démontre que ce gouvernement a travaillé pour le bien du Brésil. BOLSONARO « le fasciste » a fait ce qu’il disait qu’il ferait, a tenu ses promesses.
La réforme des retraites, impulsées par Paulo GUEDES a été menée à bien.
Les entreprises nationalisées sont passées de 209 à 127 alors que celles qui sont restées dans le giron de l’état ont vu leur bénéfice annuel passer de 69 milliards de réaux à 250 !
L’inflation est restée en dessous de celle des Etats-Unis et la croissance a dépassé celle de la Chine.
Grâce aux armes en vente libre, l’insécurité a reculé, dès lors que les criminels savent que la population peut désormais se défendre.
La corruption a également beaucoup diminué, les fonds qui avaient été détournés ayant pu être affectés à leur destination originelle. En quatre années, au grand dam des progressistes, aucune affaire de corruption n’a pu entacher l’action du gouvernement et de ses alliés. Le retard dans les infrastructures a été en grande partie comblé alors que les travaux étaient interrompus depuis une quinzaine d’années.
La plus grande réussite est certainement l’installation de l’irrigation dans le Nordeste, aride et pauvre, mais qui peut désormais obtenir deux récoltes par an. Par cette action, BOLSONARO a obtenu une immense reconnaissance de cette région qui ne le connaissait pratiquement pas où il a gagné une immense popularité.
Ces réalisations ont été possibles grâce à la nomination de ministres techniciens et non pas politiques GUEDES à l’économie, FREITAS aux infrastructures, SALLES à l’environnement … et en dépit de la crise sanitaire.
En résumé, faire reculer la corruption, l’insécurité et la pauvreté serait d’extrême-droite ? Encourager l’entreprise et les privatisations serait d’extrême-droite ?
Si tel est le cas, la corruption, l’insécurité, la pauvreté, la haine de l’entreprise, l’argent public détourné, sont bien des valeurs de gauche.
L’Amazonie, patrimoine mondial ?
La déforestation de l’Amazonie a été injustement imputée au président sortant alors que pendant les années LULA/ROUSSEFF elle a été plus sévère. Les gigantesques incendies en Russie ou en Australie n’ont pas connu le même retentissement, mais l’Amazonie qui brûle « c’est la faute à BOLSONARO ! ». Alors, que des incendies ont été provoquées volontairement par des ONG pour le discréditer, il se dit cela aussi de l’Australie. Ces accusations ont été l’alibi pour des idées farfelues souhaitant que l’Amazonie soit administrée par un gouvernement mondial. Le président français n’a pas été le dernier à mener la charge, le même qui déclarait que la Guyane était une île !
Il est bon de rappeler que, si les forêts captent le gaz carbonique, dont la végétation a besoin, ce sont les océans qui régulent le climat.
La forêt amazonienne, très difficile à pénétrer en raison d’un entrelac de cours d’eau, est protégée par un code forestier rigoureux ( IBAMA ). L’appréhension de plusieurs milliers de bois illégaux a démontré la volonté du gouvernement de veiller à l’équilibre du couvert forestier.
Le cacique indigène RAONI a été l’idiot utile du combat anti-BOLSONARO alors que celui-ci a renforcé les droits des communautés indigènes, raison pour laquelle celles-ci protestent avec véhémence qu’on leur ait volé leur vote et se sont rendu à Brasilia par milliers. Ce brave vieillard a été utilisé comme une attraction exotique lors des kermesses écolo-gauchistes qui ont sillonné la France. Ce qui est cocasse est que RAONI habite Paris, à la tête d’une association et pratique le commerce du bois en Amazonie !
Le STF, la vraie dictature
Le Supreme Tribunal Federal est l’équivalent d’une Cour Suprême composé de onze membres, dont neuf ayant été nommés par les administrations LULA et ROUSSEFF ce tribunal a perdu de son sens en devenant de fait un syndicat à leur service. Alors que son rôle devrait être seulement consultatif, donc agir sur saisine, celui-ci est en réalité le vrai pouvoir. Curieusement, c’est au moment de l’élection de BOLSONARO en 2018, que le STF est arrivé sur le devant de la scène. Il s’est alors opposé à tout ce qui était possible des réformes du gouvernement. La grande affaire de ce tribunal aura été de préparer par tous les moyens le retour de LULA, malgré ses multiples condamnations.
La supposée dictature que BOLSONARO allait imposer est en réalité celle du STF et de son président omnipotent Alexandre de MORAES, avocat des groupes criminels et trafiquants. Pour preuve, celui-ci a pris des décisions totalitaires faisant fi, non seulement du président et du gouvernement mais aussi du parlement et en piétinant la Constitution sans qu’il soit le moins du monde inquiété.
C’est ainsi que le STF a décidé de libérer LULA sur un vice de forme, considérant que le tribunal de Curitiba qui l’a condamné n’était pas compétent alors qu’il était domicilié à Brasilia. Cependant, celui-ci n’a pas été innocenté pour autant. En vérité, cette libération n’avait qu’un objectif : pouvoir rendre LULA éligible étant le seul pouvant supposément faire échec à BOLSONARO. Dès lors, les dés était pipés puisque tout sera mis en œuvre pour détruire l’image du gouvernement. Il va de soi que la machine globaliste n’est pas restée inactive afin d’en finir avec un « fasciste d’extrême-droite ».
Les enseignements de l’histoire nous auront appris que le vote ne peut être qu’un leurre. STALINE, qui s’y connaissait, ne déclarait-il pas : « l’important n’est pas celui qui vote mais celui qui compte ». BARROSO, l’un des membres du STF a déclaré : « Une élection ne se gagne pas, elle se prend ». On ne peut être plus clair …
Qui est LULA ?
Luiz Ignacio LULA da SILVA est un ancien ouvrier métallurgiste originaire de l’état du Pernambouc, dans le Nordeste. Il s’est fait connaître en fondant le Parti des Travailleurs, son charisme et ses grands talents de comédien lui ayant permis d’acquérir une grande popularité auprès des classes populaires grâce à laquelle il a pu se faire porter deux fois à la présidence du géant sud-américain.
S’il a suscité d’immenses espoirs, ses mandats n’ont cessé d’être éclaboussés par les plus grands scandales de l’histoire du pays.
LULA a été condamné à l’unanimité à 9 ans de prison puis une cour d’appel a confirmé sa peine et l’a alourdi à 12 ans.
Il a dû répondre à plusieurs chefs d’accusation : corruption, blanchiment d’argent, trafic d’influence ( affaire ODEBRECHT ), obstruction à la justice, financement illégal de partis politiques ( affaire PETROBRAS ), pots de vin ( affaire des Mensalões ).
S’il a pu être libéré par ses amis, il n’est pas innocenté pour autant. D’ailleurs, il a gagné le charmant surnom de LULADRÃO ( ladrão = voleur ).
Voilà l’homme qui va présider aux destinées du Brésil pour le mener à l’abîme.
Si « l’élection de l’ex-détenu a fait des heureux ce sont bien les criminels, les trafiquants et les corrompus, condamnés ou pas. Aussitôt, le résultat du premier tour connu, des vidéos ont circulé montrant les détenus exploser de joie. La libération de l’ex-gouverneur de l’état de Rio de Janeiro, Sergio CABRAL, condamné à perpétuité, a été décidée avant même que LULA n’entre en fonction ! Tout le ban et l’arrière ban du Parti des Travailleurs, tous condamnés commencent à se partager les postes, au diable la morale !
Le plus affligeant n’est-ce pas la complaisance, pour ne pas dire l’admiration, que les dirigeants européens ont manifesté à l’égard de celui que BOLSONARO a qualifié de « presidario-cachacero » ( prisonnier amateur de cachaça ) ? Le président français l’a reçu comme un vrai chef d’état, lequel a obtenu une tribune libre le 30 octobre dans Le Monde, organe officiel de Bill GATES.
Lors de la mascarade de la COP 27 à Charm-el-Cheikh, il a été reçu comme une rock star où il s’est rendu en avion privé appartenant à un de ses amis
entrepreneur maintes fois condamné et alors qu’il n’est pas encore président en exercice.
A-t-on assisté au plus grand hold-up électoral de l’histoire ?
La libération de LULA n’était pas sans arrière-pensées, il était le seul qui supposément pouvait battre BOLSONARO, ce qui est plus que contestable.
Son élection était tout simplement impossible, voici pourquoi.
En raison de ses multiples condamnations sa popularité s’est effondrée et son capital électoral s’est logiquement érodé. Alors comment se fait-il qu’il ait pu récolter 48% des votes, soit plus que lors de ses deux élections ( 2002 et 2006 ) alors au faîte de sa popularité ?
A l’inverse, BOLSONARO n’a récolté que 49% au deuxième tour contre ses 55% de 2018. Alors, comment se fait-il que son électorat aurait fondu alors que sa bonne gouvernance lui a apporté une immense popularité ?
Il n’est pas interdit d’estimer que le ratio serait en réalité de 65% contre 35%
Ce résultat extravagant ne peut être que le résultat d’une fraude massive en raison de la facilité à manipuler les votes électroniques, mais pas seulement.
De nombreuses irrégularités ont été relevées : achats de votes ( principalement dans le Nordeste, pauvre ), intimidations, bureaux de vote fermés …
Dans des communes du Nordeste LULA aurait remporté 100% des votes ( du jamais vu ). On relève aussi des cas où LULA aurait récolté plus de votes qu’il n’y a d’habitants ! Il n’y aurait donc pas qu’en Corse qu’on fait voter les morts ?
Même Elon MUSK soupçonne Twitter d’avoir favorisé la gauche lors de ces élections.
La colère gronde dans le pays
Depuis l’issue du deuxième tour de gigantesques mouvements de foule se rassemblent devant les casernes. Le peuple n’accepte pas qu’on lui ait volé son élection et refuse le verdict dont il sait qu’il est truqué et demande l’intervention de l’armée en protectrice de la constitution. Le slogan qui est scandé en permanence est : « LULA voleur, ta place est en prison ! ».
Ce qui est inédit est la présence à Brasilia, siège du pouvoir, de nombreuses communauté indigènes venues apporter leur soutien à BOLSONARO en forme de reconnaissance pour l’attention que son gouvernement leur a apporté, quoiqu’en disent ses détracteurs. Le président du STF, MORAES a commis l’irréparable en incarcérant le cacique SERERE or, au Brésil « on ne touche pas à l’Indien ».
Afin de discréditer le mouvement les inévitables Black Blocks se sont invités aux manifestations alors que les protestations restent pacifiques. Décidément, les méthodes des globalistes sont bien rodées.
Les conséquences du basculement
Ce Brésil qui a été mis sur le bon chemin par quatre ans de bonne gouvernance suscite beaucoup de jalousie, il faut le soumettre, tel est le souhait de Monsieur SCHWAB et de ses amis. Le basculement du Brésil pourrait avoir des conséquences planétaires.
En raison de ses ressources le Brésil n’a presque besoin de personne.
Son sous-sol est très riche en fer et métaux rares … , il est autosuffisant en pétrole, il est le premier exportateur mondial de produits alimentaires, pouvant nourrir un milliard de terriens ( dont la Chine ), ses ressources halieutiques sont importantes ( 15 000 kilomètres de côtes de mers chaudes ), ses sites touristiques sont encore sous-exploités ( en raison de la violence ).
Il n’est pas étonnant qu’il suscite autant de convoitises.
Son basculement pourrait sonner le glas du conservatisme car il en l’un des derniers bastions. Il suffit d’observer l’excitation qui s’est emparée de la Gauche extrême et putride pour éprouver les plus grandes inquiétudes quant à
l’avenir du Monde. Las annonces de LULA sont terrifiantes, marques d’un socialisme pur et dur, animé par le ressentiment et la jalousie. De nombreuses voix s’élèvent pour craindre que le Brésil ne devienne un nouveau Venezuela.
Ce mouvement pourrait être irréversible tant les tentacules du Nouvel Ordre Mondial, cher à Herr SCHWAB et à ses complices, sont étendues.